Revue de Presse
Dès la première entrée des solistes nous fûmes saisis par la perfection de la combinaison des voix. Elle devait nous procurer un grand bonheur durant tout le concert:
Le soprano chaleureux et rayonnant d’Aline Du Pasquier se combinait à merveille avec le mezzo agréablement clair de Christina Metz ( … )
Ici aussi les quatre solistes ont atteint un niveau exceptionnel, tant vocalement que musicalement: Aline Du Pasquier nous a touchés avec son chant inspiré, toujours proche du texte, et par sa voix dorée, qui donnait aux ensembles un éclat particulier.
Le soprano chaleureux et rayonnant d’Aline Du Pasquier se combinait à merveille avec le mezzo agréablement clair de Christina Metz ( … )
Ici aussi les quatre solistes ont atteint un niveau exceptionnel, tant vocalement que musicalement: Aline Du Pasquier nous a touchés avec son chant inspiré, toujours proche du texte, et par sa voix dorée, qui donnait aux ensembles un éclat particulier.
Sa voix pleine et douce est aussi lumineuse et flexible tout en étant équilibrée dans les régistres et sûre dans le phrasé…
A remarquer ici les solistes qui donnèrent un brillant particulier à la soirée. Le duo pour voix de femmes (Mendelssohn) chanté par Aline Du Pasquier, soprano et Roswitha Müller, alto, fit tout simplement passer des frissons. Les deux voix se mêlaient si bien qu’elles créaient une harmonie comme on en entend rarement. Les deux cantatrices enthousiasmèrent aussi le public dans leurs soli.
Aline Du Pasquier, un rossignol que l’on ne demande qu’à réentendre. Quel gracieux Cherubino!